26 mai 2014
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11:46
Tel un soleil d’hiver
Qui brille dans un ciel gris clair
J’effleure ta peau de mes baisers
Sans jamais parvenir à te réchauffer
Tel un soleil d’hiver
Me couchant dans la mer
Je brûle et me consume dans les vagues
Devant tes yeux qui divaguent
Tel un soleil d’hiver
De mes rayons je t’étreins
Puis dans l’ombre de tes chimères
Doucement je sombre et m’éteins
Seshet
Published by Seshet Noun
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21 février 2010
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14:28
Chaque jour ton absence
Vide ma vie
Et mon cœur flétri
S’enferme dans le silence
Mais ces voix dans le vent
Murmures d’autres corps
Et ces voies dans le temps
Croisent l’amour et la mort
L’écho de ton oubli
Attise mes démences
Me laissant sans défense
Face à ma jalousie
Les voix dans le vent
Ont brisé mon décor
Mais ces voies dans le temps
Je les emprunterai encore
© Seshet Noun
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30 janvier 2010
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16:57
Pourquoi le jour ressemble à la nuit ?
Les promesses de l’aube s’éteignent dans mes mains
Quand je ferme les yeux aujourd’hui
Je ne peux plus regarder vers demain
J’ai dit tout ce que j’avais à dire
La poésie s’agite
J’ai noté ce que je ne pouvais dire
La poésie hésite
J’ai pleuré tout ce je n’ai pu fuir
La poésie s’irrite
J’ai écrit tout ce qui peut me nuire
La poésie me quitte
Pourquoi ce jour ressemble à la fin ?
La nuit consume mes chairs et mes os
Mon cerveau confond hier et demain
La folie me sent sombrer dans ses eaux
J’ai noté tout ce que j’avais à dire
La poésie s’agite
J’ai dit ce que je ne pouvais dire
La poésie hésite
J’ai écrit tout ce que je veux fuir
La poésie s’irrite
J’ai aimé ce que je veux détruire
La poésie me quitte
Ferme ta gueule !
Laisse-moi seule !
Le jour peut bien ressembler à la nuit
Quand dans ses yeux je ne lis plus que l’ennui !
© Seshet Noun
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24 janvier 2010
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16:29
Comme le silence s’épanche
Dans la tristesse de nos pages blanches
Doucement je flanche
Comme le silence s’enfuit
De nos musicales notes de pluie
Sûrement je m’ennuie
Comme le silence se réfugie
Dans notre quotidienne cacophonie
Irrémédiablement je sombre dans la folie
Comme le silence nous envahit
Ce silence qui ressemble à la nuit
Quand sur le vide je me penche.
© Seshet Noun
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25 septembre 2009
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11:52
Visiter nos tombes-mémoires
Dans la lumière sombre d'un soir
Visiter nos tombes-mémoires
Suivre l'ombre luciole du désespoir
Et dans l'éclat de nos obscures étincelles
Brûler nos rêves rebelles...
© Seshet Noun
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25 septembre 2009
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02:33
Je suis le jour qui dort toujours
Je suis la nuit qui mort le jour
Je suis le monde qui s'ombre
Je suis l'immonde vie sombre
Je suis l'ombre de mes envies
Je suis l’ombre que je fuis
Je suis la Nuit...
© Seshet Noun
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20 août 2009
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16:03
Le cri réalisa
Qu’il était prisonnier
Des meurtrissures de l’âme.
© Seshet Noun
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19 août 2009
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08:53
Je suis une coquille
... Cassée !
Vide de sentiment
Vide d'émotion
Vide d'écriture
Tâche d'encre en pleine feuille blanche
Substances échappées
Pourtant j'aimerais tant...
Je suis une coquille
Pff... Platitude !
Et nul désert fumant le soleil
Et nul désert fumant le gel
Et nul désert jaune
Au milieu d'un désert blanc
Ne saurait décrire ma solitude
Pourtant j'aimerais tant
Pourtant je voudrais tant
Retrouver mon unité
Et me noyer dedans...
© Seshet Noun
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18 août 2009
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08:27
je voudrais juste disparaître
comme ça silencieusement
m'estomper m'effacer doucement
et ne jamais renaître
du voile éthéré de l'être
à l'absolu néant
© Seshet Noun
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17 août 2009
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17:10
Je sais le chaos des rêves désenchantés, Je sais l'immobilisme et la morosité, Les nuits blanches et les jours noirs Assise sur les rives du désespoir... Et je souris, comme pour y croire, Mais derrière ce masque dérisoire, Je sombre dans l'obscurité, Ombre poisseuse de mes illusions nées,
Mes rêves déchus, mon âme perdue,
Ombre hideuse de mes illusions nues.
© Seshet Noun
Poème répondant à l'
Apathie de Bélisaire
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